Camerounais de père et de mère, Née en 1998 à Yaoundé, MENGOUMOU AYIA THIERRY au pseudonyme de TENOR, est un jeune passionné de la musique urbaine camerounaise qu’il représente valeureusement à travers ses diverses idéologies et passions.
Il débute alors ses études a l’âge de 3 ans ou il réussit malgré son attirance particulaire à la musique à exceller dans la plupart de ses classes de la maternelle à Yaoundé. Puis, consacre 3 ans d’une partie de ses années à l’école primaire à la ville de Bertoua et obtient son certificat des études primaires sans aucunes difficultés à saint Vincent palloti de nkol-eton a yaoundé. Il commence donc le secondaire en 2009 au collège de la retraite, où il fera une année et obtiendra par la suite son brevet des études du premier cycle sans aucun échec enregistré au cours de ces 4 années au collège catholique père Monti. Autant attirer par la musique que la commercialisation, le jeune prodige lance ses études du côté de l’enseignement technique en action et communication commerciales encore appelée g3 ou il était en classe de première du côté d’Edéa et a obtenu son probatoire d’un coup et y continu en classe de Terminale.
TENOR commence à rédiger des chansons a l’âge de 7 ans, particulièrement attiré par les mœurs et culture d’ailleurs, qu’il n’hésitera pas a interprété lors des évènements périscolaires. Il fait en 2009 l’Académie Music’Art EUTHERPE de bastos ou il fait des cours de chant. Mais TENOR intéressé par le fait de vouloir faire écouter ses œuvres à ses proches, commence beaucoup plus à être attiré par les studios d’enregistrement que par ses cours de chant. Il rencontre alors son grand-frère GHISLAIN LAROCHE qui lui fait subir une intense formation pour perfectionner le sens de son talent dans son label LAROCHE ENTERTAINMENT devenu KING ET BEN LAROCHE STUDIO où il enregistre son premier single intitulé MAMAN rendant ainsi hommage à sa maman et à toutes celles du monde, et travaille avec des artistes et révélations camerounaises tels que DJ SAIZO, 2 SANS 2, DOC CHAKALLO, KINGO… D’où cette rencontre avec le groupe de musique et GAME BOYS, avec lequel il travaille aujourd’hui sous le label 937 muzikstar. Avec ce label, le jeune prodige vas faire des merveilles, des prestations par dizaines tels que la première partie de shaba tigre et lynsha à douala, l’évènement international ya-fe session 2013 et 2014, fomaric 2013 et bien d autres…, un vidéogramme intitulé GOOD STYLE en featuring avec GAME BOYS et MISSI G STILL DASH et rencontre par les occasions plusieurs grands-frères tels que : TONY NO BODY, BOUDOR, VIBRI, STILL DASH (son homeboy), STANLEY ENOW, SAH VANE, TAPHIS… en écoutant dires et conseilles de ceux-ci, il décide par la suite de se construire des idéologies à la camerounaise, et va donc faire un single qui sera hors de la normal dans le milieu de la musique urbaine camerounaise intitulé ALLELUIA sous le label 937 musik star. Le morceau devient très vite apprécié et par la suite, il décide faire un vidéogramme avec le célèbre SHAMAK ALLHARAMADJI DE BRAIN FILMS deja disponible.
TENOR ne cesse de travailler et met donc sur internet son premier freestyle titré CAMEROUNAIS. La chanson se fait très vite remarquer apparaissant ainsi sur plusieurs sites célébrissimes et magasines en ligne, apportant ainsi une façon différente de voir les choses à l’égard de l’image camerounaise au but d’annoncer la sortie de son vidéogramme, et bien d’autres. Tenor enchaine directement plusieurs freestyles dont celui nommé dorobucci tout en annonçant la sortie de son prochain single ebanflang qui a fait un carton sur la toile en étant classé numéro 1 sur le top 50 du classement vrjmusic devant plusieurs tubes et hits du même moment. Il annonce par la suite un single titré #TEDLN (Tu Es Dans Le Ndem) qui est une expression très célèbre en argot camerounais désignant quelqu’un dans une très mauvaise situation dans tout les sens du termes. Le jeune TENOR ne se laisse pas faire et fait taire les critiques en sortant le 17 juin son single #DoLeDab et officialise sa signature en label collabo avec BIG DREAMS ENT et WAR MACHINE, qui est considéré comme un hit pour plusieurs contemporains. La suite pour ce brillant talent camerounais nous en dira d’avantage.
Le jeune artiste prône la culture camerounaise, et donne un intérêt particulier au mboa hip-hop, UN RAP épicé a la sauce camerounaise, abordant des thèmes très variés dans ses morceaux tout en s’inspirant du local (make real the dream for Cameroun).